Témoignages

 

Amély Moris Je me demandais si quelqu'un savait me dire ce qu'il est advenu de la maison juste à droite de l'église sur la photo ? Elle n'existe plus, c'est un fait ! Luna Arnould Mon papy dit que c'était une maison habitée par la famille Jaumin et que après ils y ont fait l'école gardienne pendant que la " véritable" école je vais dire était elle en travaux Elle a ensuite été abandonnée et puis un jour ils l'ont rasée

Amély Moris - Luna Arnould

 

C un samedi matin de 76 que la firme Francis Cavelier, exploitation forestière de Libin, va procéder à l'abattage comme si il s'agissait d'un chêne de l'ancienne cheminée de Devilca. On dégage les alentour, on fait une entaille et avec deux câbles tendus par un tracteur et bulldozer Il n'y à pas de vent donc toute la manœuvre semble large. 3 bennes de camion sont placées pour protéger la voie ferrée Le train de 11h45 étant passé, la cheminée s'incline définitivement pour se brisée au sol dans un bruit sourd.

HELGE

 

La tranchée de la Bôlette Je pense que c'est la route qui va de la grand route (actuelle) au parc container. Il y avait d'ailleurs un point d'arrêt à la jonction de la route de la gare d'Anloy (carrefour P.Benoit) Les vieux disaient "à la gare de Villance" Et si l'on regarde bien il y a quand même encore de la hauteur des deux côtés sur une certaine distance. Elle commençait à hauteur de la Rue de Villance vers l'embranchement de l'actuelle Rue fond des veaux et se terminait ± juste à l'emplacement du parc à containers. Pour les passionnés d'histoire, la ligne vicinale était la ligne 93 (1903) 😉

Michael Cravatte - Fabrice Liban

 

L'école des filles, en 1905, le bâtiment central plus imposant, devenu La commune , la poste et le CPAS, était occupé par les religieuses dont certaines étaient enseignantes Sœur Adèle, sœur Maria Pourbaix, la sœur supérieure était une "Vany" de Redu ( 5 et 6ieme années) et sœur St Émile en gardienne, cela fin des années 50 et début 60! Il y avait une petite gentille qui faisait la cuisine soeur Bernadette

Monique Duchene - Marina Lefebvre - Pierre van der Heyden - Majo Duchene

 

La maison blanche à gauche appartient maintenant à la famille de Caroline Duchêne . C' est là que ma grand mère à loué pendant des années, juste en face de l'ancien spar et du photographe chez Samson .

Sandrine Mathieu

 

Voici une anecdote contemporaine et plutôt originale de Aklwg Obiwan J'ai retrouvé cette photo dans un album de famille, j'ai trouvé à qui elle appartient,celui qui reconnaîtra sa maison ,je lui offre la photo 😉

Rézette Frédéric - Aklwg Obiwan

 

Transinne : pendant la guerre de 40/45,les enfants de l école avec leur instituteur Séraphin Gob qui remplaçait Numa Collignon en captivité ,on peut voir Liliane Mahoux et sa soeur dans le groupe

Jacky Schingtienne

 

Le moulin de Molhan était situé sur la rivière Lesse. L’origine franque du moulin nous est confirmée par son nom. « Han ou Ham » vient du Moyen francique « heim », qui signifie « pièce de terre avec vaste pâture entourée d’une clôture ». Il s’agit souvent d’une courbe d’un cours d’eau, comme à Ham-sur-Heure, Han-sur-Lesse. Le moulin de Molhan était situé à la sortie d’une grande courbe de la Lesse. On trouve la première mention écrite de ce moulin dans le polyptyque de Prüm, en 893. Ce document, écrit en latin, est un inventaire des possessions de l’abbaye de Prüm en Ardennes, au haut Moyen Âge. Après février 892, des moines de l’abbaye Saint-Sauveur de Prüm, dans l’Eifel, sont chargés de dresser le relevé de l’état des biens de l’abbaye, après les pillages des Normands. Plusieurs groupes vont parcourir l’Eifel, le Luxembourg, les Ardennes, le Rhin moyen, la Meuse et la Moselle et noter, sans règle précise, les maisons, prés, revenus et même noms des habitants faisant partie des biens de l’abbaye. Le document original est perdu. Mais nous possédons une copie exécutée en 1222 par Césaire de Myllendonck, l’ex-abbé de Prüm retiré au monastère de Heisterbach, à la demande de son successeur, l’abbé Friedrich de Stein. Le polyptyque comporte 119 chapitres, lesquels sont consacrés chacun à un lieu où l’abbaye avait des biens. Le chapitre 45 est consacré à Villance (qui fait partie aujourd’hui de la commune de Libin, dans la Province du Luxembourg, en Belgique), qui comprenait à cette époque la partie de la Lesse qui comptait deux moulins, celui de Villance et celui de Molhan. Le texte latin dit : « Sunt ibi molendini II, qui solvunt annona mixta modios XL » : Il y a là deux moulins, qui payent 40 muids de méteil. L’abbé Georges Dartois a publié, dans une collection intitulée « Brindilles de la Haute-Lesse, Villance (Libin) » deux tomes consacrés à la famille Kauffmann, une dynastie de meuniers au pays de Villance. On trouve, dans le volume II, qui contient les annexes, une liste des meuniers de Molhan, qui remonte à 1577. Le moulin change à plusieurs reprises de propriétaire. Entre 1760 et 1876 cependant il va, semble-t-il, rester propriété des familles Collard-Grosjean et Degré-Grosjean. La famille Libert occupera le moulin de 1899 à 1920, date à laquelle le moulin cessera ses activités de meunerie. De nouveaux propriétaires du moulin voulurent implanter une centrale électrique sur la Lesse, centrale qui fournit un bref moment de l’électricité au village de Lesse. Le moulin a aujourd’hui disparu, mais dans les bois, en bord de Lesse, à son emplacement, il y a une maison.

Wikipédia

 

Le domaine est situé à la sortie du village d’Ochamps sur la route menant à Libin. Roumont se dresse au milieu d'un parc à l'anglaise dont les avenues rectilignes se perdent dans la forêt, c'est une imposante demeure rappelant les châteaux de la Loire. La famille Coppée acquiert le domaine en 1885. Il est composé d’une centaine d’hectares de terres cultivables et de forêt puis bâtie le château avec des annexes arrières qui permettent l’exploitation de la propriété. C’est Evence II qui acheta Roumont pour le bonheur de son épouse Evence II progresse dans l’industrie de la cokerie & devient leader dans ce secteur. Il fut nommé baron et ce titre sera transmis dans les générations suivantes. Juste avant la grande guerre, c’est son fils, Evence III qui décida d’une majestueuse transformation de la propriété, de telle sorte que le bâtiment devint le splendide château encore vu à ce jour. Quatre fermes satellites complètent magnifiquement ce vaste domaine, celle de Maubeuge, entre Ochamps et Anloy, est la plus monumentale.

 

Inauguration de l Euro Space Center en 1991 avec notre ancien bourgmestre Léon Magin

Jacky Schingtienne

 

LESSE-REDU C'était à la fin des «Sixties». On avait imaginé de construire un barrage d'une capacité de cent millions de m3 par an, en aval du pont des Barbouillons (Daverdisse). Haut d'une quarantaine de mètres, il devait, en se remplissant, inonder le village de Lesse, une partie de Daverdisse et une partie de Maissin. Les habitants s y opposaient. Raymonde Declercq: J'interviens pour rappeler que Jacques Declercq, mon mari, et Paul Delahaut de Redu, sont les deux personnes les plus impliquées qui ont lutté, en justice notamment, pour contrer ce projet, et qui, après des années de pugnacité, ont finalement obtenu gain de cause au Conseil d'Etat. Toujours bon à rappeler !!!!!😏

Jacky Schingtienne

 

Libin 26 août 1945. Fête des prisonniers et de la libération. De gauche à droite: Alice Copine, Marguerite Moyen, Andrée Bodart, Olga Lebrun, Nelly Ligot et Mimie Bodart, ma maman.

Patricia Verbelen

 

Bonjour à tous. Récemment, j'ai appris que durant la deuxième guerre mondiale, la villa de la Mamborre (Villance) servait de lieu de réunions pour les résistants et notamment, l'Armée Secrète. Il faut dire que l'endroit est isolé, à l’abri des regards, au milieu de la nature et facile pour prendre la fuite au cas où ... La Mamborre est accessible par la voie publique longeant le terrain de football de Villance et par la rue de la Justice (Maissin).

Jm Pierard

 

Fliegerhorst kommandantur = commandement d'aéroport, ça doit être l'unité de la Luftwaffe qui avait en charge l'aérodrome de campagne sur la route de Recogne et le dépôt de matériel au Rolibuchy. Les américains avaient installé un aérodrome situé derrière la ferme de Bonipré. Celui ci était en place entre mai et juin 1940 et servait à l'approvisionnement de la percée vers Sedan.

Sébastien Piton - Jm Pierard

 

Villance en 1910: Le premier téléphone privé au village le n°17. rue de Chamont Maison Hols -Lejeune atelier de machine agricole et café

 

Bouli, le Thyl Ulenspiegel de Smuid A la fin du Moyen Age, à Smuid, il y avait une petite maison ardennaise construite à côté d’un magnifique tilleul plusieurs fois centenaire. Dans cette maison vivait un brave homme très droit mais qui ne dédaignait pas, après la messe, de boire une bonne bière de l’abbaye d’Orval avec les amis. Son épouse qui était toujours très jolie lui avait donné quatre beaux enfants, trois filles et un rejeton mâle, le benjamin. Comme ce dernier avait le bedon bien dodu lorsqu’il était petit, on le surnomma le Bouli. Au point que tout le monde oublia que son vrai prénom était François. Déjà à 4 ans, il se révéla un sacré garnement. Il avait été attraper des grenouilles dans un étang de Paliseul. Et il s’amusait à les glisser dans la blouse de ses sœurs, en leur disant : «souvenir de Paliseul ». (Ndla : de là vient le surnom de Grenouille donné aux habitants de Paliseul). A 7 ans, il escalada l’église et grimpa jusqu’au coq du clocher. Il voulait prendre le volatile en fer pour le mettre dans le poulailler de la mère Krompir, la voisine. Mais mal lui en prit. Il resta accroché au clocher par la culotte sans plus pouvoir se libérer. Il fallut trois heures, cinq hommes et six échelles pour le tirer de ce mauvais pas. Il paraît qu’à son mariage, ses fesses portaient encore la marque de la correction que son père lui infligea. Mais cette mésaventure le guida dans le choix de son futur métier. Dans le village, il y avait Gaston, le garde champêtre taillé comme une armoire à glace et doté d’une moustache impressionnante, toute noire. Ce digne représentant de l’ordre avait pour habitude de faciliter sa digestion et surtout sa sieste en enfilant plusieurs bols de cidre qu’il distillait lui-même. Un jour qu’il avait exagéré, il s’était endormi profondément au pied d’un vieux chêne. Bouli s’introduisit subrepticement chez le barbier pour lui emprunter un blaireau et un rasoir. Puis il vint délicatement raser la moustache droite de la maréchaussée endormie. A son réveil, Gaston ne se rendit compte de rien et repartit un titubant vers sa maison. En chemin tout le monde le regardait en riant. C’est de là que vient l’expression « Si le lion se laisse tirer les poils de la moustache, c'est qu'il est mort saoul ! » Plus il grandissait, plus Bouli s’amincissait mais il conserva son surnom toute sa vie. Et il garda son esprit espiègle tout aussi longtemps. Ainsi un jour, le bourg résonna de dizaines de jurons. C’était après une nuit où notre héros s’était amusé à coudre les bas des jambes droites des pantalons de tous ses voisins. Une autre fois, il remplaça le sucre par du sel dans tous les sucriers du château du village voisin. Sans parler des poils à gratter mis dans le dos des filles, des orties déposées dans le foin de la ferme voisine, là où son copain Octave avait l’habitude de retrouver la fille du meunier, sans parler des crottes de chèvres remplaçant les cachous de la vieille Marthe, de la glu placée sur le siège du Suisse de l’église … Une semaine durant, Bouli se promena avec un magnifique œil au beurre noir. C’était après qu’il se soit fait prendre par le bûcheron dont il avait enduit le manche de la cognée avec de la graisse de bœuf. Il faut dire qu’emporté par son élan, il envoya la cognée dans la barque avec laquelle il allait pêcher … et que celle-ci coula ! Mais un soir d’été où il allait braconner du côté de Maissin, il aperçut la jolie Annemie qui se trempait le bout des pieds dans la Lesse. Elle était la fille du forgeron du village. Dès qu’il la vit, il en tomba follement amoureux. Il ne lui fallut pas longtemps pour la séduire. Pour ses beaux yeux, il cessa de faire des niches. Pour elle, il abandonna ses sorties du samedi soir avec ses copains. Quand enfin, il put la tenir par la main, c’est le forgeron qu’il fallut convaincre. Là ce fut une autre affaire ! Mais Bouli avait une volonté hors du commun et il arrivait toujours à ses fins. Au bout de six mois, il fut enfin autorisé à faire la cour à sa belle. Quelques années plus tard, le couple et leurs deux enfants s’installèrent à Opont. 500 ans passèrent, c’est un de leurs descendants qui fit la une de Facebook avec une de ses facéties. Mais cela, c’est une autre histoire que je vous conterai peut-être un jour d’hiver. Et une p'tite précision de Ari Lannoy: ( La Brasserie d’Orval a été fondée en 1931. Alors peut-être s’agit-il d’une autre bière fabriquée par les moines au moyen-âge, ou alors cette histoire ne se peut pas! 😅😉 )

Gérald Jacques

 

La Chapelle Notre Dame de Lesse Encadré de deux tilleuls vénérables, ce petit oratoire, construit à flanc de coteau, date de 1750.Placé sous la protection de Notre Dame Auxiliatrice, il était le centre d un pèlerinage ,autrefois renommé, qui avait lieu le 25 mars. Ce jour la comme à Walcourt, on plaçait effigie de la madone dans un arbre. On rapporte que la chapelle fut le théâtre de quelques miracles. Un pèlerinage à Saint Monon s y est maintenu pendant quelques années pour la protection du bétail et particulièrement des cochons.

Jacky Schingtienne

 

Jacky Schingtienne Le chalet de la barrière de Transinne devant l hotel en 1953 avec M Dubois qui fait du jardinage,il y avait déjà un rond point à l époque😊 Frédéric Rézette Pour ceux qui ne connaissent pas, avec les panneaux de signalisation on sait bien situé le chalet, du moins se faire une idée 😉 Merci pour c superbes clichés 🤗 Johnny Wanlin Pas de rond point, plutôt l'accès à la pompe. C'est Qui Il servait à quoi ce chalet? Johnny Wanlin l'habitation C'est Qui On ne dirait pas vraiment une habitation 🤨 Johnny Wanlin Je l'ai connu en tant que telle, maintenant avant je ne sais pas Charlotte Clip pourrait peut être éclairer notre lanterne ? Jacky Schingtienne c était l abri pour le pompiste Charlotte Clip Merci Jacky, je ne connaissais pas du tout cette version de la station Johnny Wanlin Charlotte Clip moi non plus.

 

Jacky Schingtienne: Le moulin de Villance C est l un des plus anciens moulins du cours supérieur de la Lesse.Resté en activité jusqu' il y a une cinquantaine d année, il date du début du dix huitième siècle. Trois roues indépendantes attestaient l importance de cette installation qui autrefois ,comprenait un moulin à huile, un à farine et une scierie à eau. Etienne Evrard: les roues ont malheureusement disparus avec le temps ! Souvenir d'avoir habité la petite maison du moulin (en face) ,connu Jeanne et Maurice,souvenir de fêtes au moulin ,souvenirs 😉 Ben Bechoux: Etienne Evrard, les roues ET le moulin avaient été remis en état pour une fête du patrimoine il y a une trentaine d’années il me semble Etienne Evrard: oui Ben exact, par deux fois ! la scierie avait refonctionné (ça c'était la 1ere fois,Maurice vivait encore, il avait d'ailleurs fait fonctionner la scie tout le we 😉 J-c Lambin: ben oui, avec l'âge... par contre près de chez toi, la roue est nouvelle plus de poissons, dommage 😎 Etienne Evrard: la roue du moulin de la souris est effectivement nvlle (en acier) et sert maintenant pour une centrale électrique privée. L'ancienne (ce qu'il en reste ) est ds le terrain en face du moulin. J-c Lambin: ben oui, je sais... sont pas sympa eux Michael Cravatte: Une roue en bois doit tourner tout le temps pour rester bien humidifiée partout, éviter les balourds et autres problèmes. Ben Bechoux: Moulin qui helaaaas tombe en ruine complètement depuis le décès de Jeanne.... Etienne Evrard: Ben; racheté en 94 ms jamais réhabilité (pourtant des plans ont été fait,(je connais très bien le propriétaire actuel,architecte de son état) Ben Bechoux: Etienne Evrard, Bha ce sera comme la maison Jentges, abattue puis remplacée par des logements sociaux par un tour de passe passé politique Etienne Evrard: Ben Bechoux; non je ne pense pas,(je peux me tromper) ce Mr est un amoureux des vieilles pierres et des moulins (il en a d'ailleurs un autre magnifiquement restauré ! 😉 Ben Bechoux: Etienne Evrard, c’est pour ça qu’il le laisse mourir? Etienne Evrard: Ben Bechoux; Guy me dit maintenant que le batiment à été racheté par un menuisier !,, J-c Lambin moulin Lezin, retrouvez avec ma tante de 96 ans...Pierre, Maurice et Alfred les prénoms du moulin Lezin encyclopédie vivante de Vikkance elle... oui, j'ai plein d'archives de Villance,... hè rien à voir avec les autres, même si je me ballade régulièrement près de chez toi en silence le premier qui à construis le moulin, on n"était pas nés, comme la centrale électrique au dessus du moulin, reste juste le canal... sans eau Etienne Evrard: la centrale c'était aux wezelvaux pas au grand moulin J-c Lambin: oui, elle démarrait du château Felten, mais on voit plus maintenant

 

La Mamborre par Jm Pierard Bonjour à tous. Récemment, j'ai appris que durant la deuxième guerre mondiale, la villa de la Mamborre (Villance) servait de lieu de réunions pour les résistants et notamment, l'Armée Secrète. Il faut dire que l'endroit est isolé, à l'abris des regards, au milieu de la nature et facile pour prendre la fuite au cas où ... La Mamborre est accessible par la voie publique longeant le terrain de football de Villance et par la rue de la Justice (Maissin). Andre Plennevaux: Exactement un endroit tranquille Ben Bechoux: Des enfants y ont même été cachés Etienne Evrard: En effet, mes parents cachaient des pilotes anglais ( à Villance ,ancienne maison Charlier ) et mon père les reconduisaient a la Mambore ,maman racontait d'ailleurs qu'ils avaient été surpris par les allemands qui avaient débarqués chez eux et fouillé la maison, et les lits !! heureusement défaits le matin même où les pilotes étaient partis ! Sébastien Piton La Mambore et le vieux jambon d'ardennes faisait partie de "l'infrastructure" du réseau comète. Jm Pierard Effectivement, mon information comprenait également l'hôtel du "Vieux Jambon" Etienne Evrard la maison Charlier (ms à l'époque je ne sais pas à qui appartenait la maison) où mes parents habitaient à l'époque se trouvait (et se trouve tjrs ) derrière l'hôtel du vieux jambon (actuellement la maison de repos 🙂 Sébastien Piton Jm Pierard Si vous cherchez plus d'informations je crois qu'il y a un chapitre sur les activités du réseau comète dans le livre de Madeleine Dom "Soldats sans uniforme". Jm Pierard Sébastien Piton merci ! Suite à une enquête menée avec un ami écrivain / historien qui va publier un livre prochainement, relatif aux exécutions de collaborateurs par l'AS (Gembes, Wellin, Tellin, ...), la Mambore et l'hôtel sont apparus dans les informations. Sébastien Piton Je serai intéressé d'acheter ce livre, savez vous déjà où il sera en vente ? Jm Pierard Je reviendrai sur ce site pour vous tenir au courant, dès qu'ils sera disponible à la vente. Il doit le terminer et le publier. Sébastien Piton Jm Pierard Merci ! Stéphane Demarche Sébastien Piton le CHTL peut vous aider. Voici le début d'article (10 pages) publié dans la revue 8 de 2008 dans "Aux sources de la Lesse" Sébastien Piton Stéphane Demarche Je possède déjà ce numéro ainsi que quelques autres, ce sont de très bon bouquins sur l'histoire de la région. Merci 😉 Etienne Evrard cela restait bien sûr très discret, il n'y avait pas que des résistants au village ! 😉 Stéphane Demarche Savez-vous qu'il existe un cercle d'histoire à Libin, actif et qui publie 2 fois par an un bulletin contenant l'histoire ancienne et récente de notre commune. Il existe aussi une quinzaine de revues "Aux sources de la Lesse" contenant des articles de fond assez fouillés. Pour plus d'info voici un lien pour contacter ses représentants et vous procurer de la documentation. Stéphane Demarche https://www.libin.be/nos-associations-culturelles#CHTL Majo Duchene Je me demande où se trouve le chemin d'accès ? Jm Pierard Majo Duchene Attention, par la rue de la Justice (Maissin), il faut suivre la route et la chaussée devient un chemin boueux ... Jm Pierard Venant de Maissin vers Villance, première route à gauche vers le terrain de football. 200 mètres plus loin, à votre gauche rue Mambore. Un kilomètre et la villa, à gauche, est cachée par la végétation. Etienne Evrard Jm Pierard ; oui ms ça va, luste 10m un peu boueux,rien d'alarmant, et juste par temps de fortes pluies Liliane Mahoux Installation du camp de la Mambore à Villance, en 1944. Voir le Tome N°8 du Cercle d'Histoire et Traditions de Libin dans lequel Jean-Claude Lebrun , très bien documenté, relate avec précision ces souvenirs de la dernière guerre.